La protection contre l’exploitation et les abus sexuels (PSEA) des PDI de site de BUSHAGARA

Tous les déplacés doivent être à l’abri de l’exploitation et des abus sexuels lorsqu’elles reçoivent une aide humanitaire, y compris des services et des traitements de santé, et il convient de les protéger contre de tels actes. En cas d’exploitation ou d’abus sexuels, les victimes doivent pouvoir accéder à des canaux et à des services de signalement sûrs et confidentiels. le numéro vert 49 55 55 a été mise à la disposition de ces déplacés pour dénoncer tout cas de PSEA dans le site. 450 femmes, 153 enfants et jeunes 91hmmes = 654 personnes ont participé à l’activité

ACPEJ en collaboration avec la coordination PSEA Nord Kivu et OMS (Organisation Mondiale de la Santé) à travers l’approche théâtre d’intervention a montré aux déplacés que toutes les formes d’aide humanitaire sont gratuites. Aucune faveur sexuelle ou autre ne peut être demandée en échange d’une aide humanitaire

La communauté humanitaire suivent une politique de tolérance zéro en matière d’exploitation et d’abus sexuels.

les déplacés ont été encouragé à signalés tout cas ou soupçon d’exploitation ou d’abus sexuels commis par des intervenants des Nations Unies ou des travailleurs humanitaires

Les travailleurs humanitaires ont l’obligation de créer et d’entretenir un environnement qui prévient
l’exploitation et les abus sexuels et qui promeut la mise en œuvre de leur code de conduite. Les responsables, à tous niveaux hiérarchiques, ont une responsabilité particulière pour ce qui est d’appuyer
et de concevoir des systèmes qui préservent cet environnement. »

« L’exploitation et les abus sexuels constituent des fautes graves et sont par conséquent des motifs de mesures disciplinaires, y compris de renvoi sans préavis.

Des jeux de questions, danses, expression libres et à la grande satisfaction des déplacés, cette activité a pris fin, ce 21 Février 2023.

La protection contre l’exploitation et les abus sexuels (PSEA) des PDI de site de BUSHAGARA
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